OBAMADNESS (3)

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Les critiques s'accumulent maintenant aux États-unis quant à la gestion d'Obama.Dans le New-York Times, habituellement pro-libéral, Joseph E. Stiglitz, ancien prix nobel d'économie en 2001, y va d'une critique particulièrement dure de l'aide accordé aux banques:

''What the Obama administration is doing is far worse than nationalization: it is ersatz capitalism, the privatizing of gains and the socializing of losses. It is a “partnership” in which one partner robs the other. And such partnerships — with the private sector in control — have perverse incentives, worse even than the ones that got us into the mess''

Dans le New-York Post , c'est Dick Morris qui y va d'une charge sévère: ''Obama's worst job killer''. Il y mentionne:

''Growth demands investment, and investment demands stability. So the more Obama stirs the pot with his proposals and potential changes, the more he retards exactly the investment he needs to get the economy moving again.''

Puis il termine ainsi:

''Again, he's putting his ideological agenda ahead of the requisites of national economic recovery. We needed a pragmatic pilot; we elected an ideologue instead.''

Puis pour le président de l'Union Européenne et premier ministre tchèque Mirek Topolanek ,''Obama's policies are a road to hell''.

Nathalie Elgrably ce matin dans le Journal de Montréal y va d'une explication des conséquences des agissements du gouvernement Obama. Elle , comme plusieurs autres avant , émet l'idée que le plan Obama entrainera une inflation qui finalement nuira à tous.

Je lui laisse le mot de la fin:

''Obama a hérité d'une crise économique, j'en conviens.Mais lui seul est responsable des décisions prises depuis janvier, et du vandalisme économique que subit l'Amérique. On a dit que l'élection d'Obama est historique. C'est vrai! C'est sous sa présidence que l'empire américain deviendra une république de bananes!''

OBAMADNESS (3) Les critiques s'accumulent

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