L'OBAMADNESS (2)

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Les critiques s'accumulent au pays de l'Oncle Sam quant à la gestion d'Obama...

Son plan de dépenses de 3 600 000 000 000 de dollars fait grincer des dents... Aujourd'hui c'est l'affaire AIG qui fait les manchettes...Selon Sophie Cousineau ( La Presse):

''Les Américains ne décolèrent pas devant les révélations sur l’utilisation, par AIG, des plus de 173 milliards US en fonds d’urgence versés par Washington.Les deux tiers de cette somme, soit 120 milliards de dollars, ont abouti dans les mains de clients ou de partenaires américains et étrangers, a révélé AIG hier''

''Sont beaucoup plus discutables, à mon avis, les primes incitatives et de rétention qu’AIG a versées à plus de 10 000 de ses 116 000 employés. Selon les calculs du Journal, il y en a pour 1,2 milliard de dollars !''

L'administration d'Obama tente maintenant de bloquer ces primes mais d'un point de vue bien concret, il est tentant de penser qu'il aurait été sage d'y penser avant de débourser l'argent des contribuables américains!....

Dick Morris,ancien conseiller de Bill Clinton dont la carrière à la Maison-Blanche s'est terminée sous fond de scandale y va également d'une charge contre Obama dans le New-York Post:

''The furor over the huge federal spending under President Obama - a $1.75 trillion deficit, 13 percent - obscures an even more basic question: Does he know what he is doing? ''

''That is, does he know how to do anything other than spend? ''

Il conclue ainsi :

''It appears that Obama is at sea when it comes to financial policy, economic-recovery planning and credit-rescue efforts. We're stuck not only with a socialist but seemingly an incompetent one.''

Paul Krugman, du New-York Times y va aussi de son analyse du plan de sauvetage banquaire:

''But would it be enough to make the banking system healthy? No.

Think of it this way: by using taxpayer funds to subsidize the prices of toxic waste, the administration would shower benefits on everyone who made the mistake of buying the stuff. Some of those benefits would trickle down to where they’re needed, shoring up the balance sheets of key financial institutions. But most of the benefit would go to people who don’t need or deserve to be rescued.

And this means that the government would have to lay out trillions of dollars to bring the financial system back to health, which would, in turn, both ensure a fierce public outcry and add to already serious concerns about the deficit. (Yes, even strong advocates of fiscal stimulus like yours truly worry about red ink.) Realistically, it’s just not going to happen.''

Puis pour terminer ce vidéo tiré de Fox-News, une grande ennemie de Richard Hétu y parle, Ann Coulter:

L'OBAMADNESS (2) Les critiques s'accumulent au

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