SOLUTIONS OU NOUVEAUX PROBLÈMES?...

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L'approche favorisée par l'administration Obama pour sortir les États-Unis de la crise actuelle continue de susciter des questionnements.

James K. Glassman y va d'une analyse du plan de relance américain en faisant également des parallèles avec celui de Roosevelt lors de la grande dépression. On y lit:

''So the question becomes: In a world in which monetary adjustments do not appear effective, can tax and spending policies pull us out of the slump?The track record is discouraging. Despite Franklin Roosevelt’s aggressive spending, unemployment reached 25 percent in 1933, fell only to 14 percent by 1937, and was back up to 19 percent in 1939.¹ In the end, the New Deal did little or nothing to resuscitate the economy. Certainly, inept monetary policies helped prolong the Great Depression, as did tax increases, constant interventions in the conduct of business, and the erection of global trade barriers.''

Il y cite Frédéric Bastiat, politicien francais du début de dix-neuvième siècle(traduction libre):

''Un acte , une geste,une institution,une loi ne produisent pas seulement un effet, mais une série d'effets.De ces effets le premier seulement est immédiat;il apparait simultanément avec ce qui le cause;il est vu. Les autres effets émergent seulement subséquemment; ils ne sont pas vus.Nous sommes chanceux si nous pouvons les prévoir.''

Bastiat donne un exemple de son point de vue ici:

''To prove his point, Bastiat described what happens when a vandal breaks a shopkeeper’s window. The seen effect is that repairing the glass creates economic value in the payment to the glazier, who then has money to buy a new suit or hire a part-time employee. What is unseen is that the shopkeeper has to pay the glazier with money that he would otherwise have used to buy a suit or add an employee. “The broken-window fallacy, under a hundred disguises, is the most persistent in the history of economics,” wrote the economic journalist Henry Hazlitt in 1946.''

Richard Martineau nous donnait sur son blogue hier un autre exemple des incohérences du plan américain:

''Quatre-vingt-huit municipalités ont reçu des centaines de milliers de dollars (en fait, un demi-million de dollars et plus) pour "revamper" leurs infrastructures.

Ces cadeaux sont destinés à stimuler l'économie de ces villes.

Or, certaines de ces municipalités ont mis leur "cadeau" à l'encan!

Exemple:

La petite ville de Bradbury, qui regroupe mille habitants, a reçu 500 000 $. Or, elle a vendu sa subvention à une autre municipalité pour 315 000 $ en argent comptant!

La ville de La Habra Heights (6 000 habitants) a vendu sa subvention de 500 000 $ au village Westlake pour 325 000 $ en argent liquide!

Il y a un ENCAN des subventions!

Faut le faire, non?''

Article du Pasadena Star-News ici

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